Harpe COUSINEAU Père et Fils à Paris La console... - Lot 141 - Oger - Blanchet

Lot 141
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Estimation :
3000 - 5000 EUR
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Résultat : 3 000EUR
Harpe COUSINEAU Père et Fils à Paris La console... - Lot 141 - Oger - Blanchet
Harpe COUSINEAU Père et Fils à Paris La console se termine par une volute sculptée de rais de coeur. La colonne cannelée est sculptée en son sommet d'un chapiteau représentant une console ornée de guirlandes de lauriers. La table d'harmonie en bois résineux est décorée de fleurs polychromes, filets à 4 brins sur les bords et large filet d'ivoire sur les cotés. Terrasse sculptée de feuilles d'acanthe. Le cache mécanique présente des ouvertures vitrées laissant voir la mécanique en fer et une plaque de laiton ajourée faisant apparaître le nom de Cousineau Père et Fils à Paris. Vernis brun. 39 cordes, bouton d'ébène (manques). Mécanique à béquilles à simple mouvement. 7 pédales en fer. 1 pédale pour volets d'expression. Corps sonore constitué de 7 côtes d'érable ondé. 4 pieds griffes. Hauteur: 158 cm. (Accidents, traces de vers). OV Georges Cousineau (1733-1800) Vers 1780, Georges Cousineau remplace les crochets par les béquilles, ce mécanisme ne modifie pas l'axe de la corde qui tient ainsi, plus longtemps l'accord. En 1781, Cousineau obtient le titre de «Marchand luthier de la Reine «et en 1783 ou 1784 il est nommé «Luthier ordinaire de la Reine». En 1789, la raison sociale devient «Cousineau père et fils marchands luthiers à Paris». Il vend des harpes en Allemagne et au Portugal. En 1799, il dépose un brevet de chevilles tournantes. Georges Cousineau meurt en 1800. En 1805 (l'an XIII) Jacques Georges, fils de Georges, devient luthier de Sa Majesté l'Impératrice, puis maître de harpe de l'Impératrice Joséphine. Après 1814, il est harpiste et compositeur. Il meurt en janvier 1836
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